vendredi 22 juin 2007

Au CRILLON, le PICNIC c'est CHIC

Le premier jour de l'été a donné naissance à une nouvelle vie pour le patio du Crillon. Niché en plein coeur de l'hôtel, le petit patio dévoile ses nouveaux atours pour le plaisir des sens : mobilier de fer forgé noir, vaisselle champêtre Bernardaud, centres de table d'herbes folles aromatiques, fraîcheur préservée par la diffusion d'une fine brume subtilement parfumé à la rose et surtout nouvelle carte de Jean-François Piège transforment la pause du 12-14 en véritable "déjeuner nature".
Servis dans d'authentiques paniers en osier, une profusion de savoureux petits plats, timbales, verrines, envahissent la table... le jeux du "pique-nique" peut commencer. "Passe-moi la soupe de petits pois à la menthe ", excellent... "Fais voir le thon rouge à la niçoise", "attends, goûte ça, le sushi de thon,"... le ballet de saveurs est réjouissant, on ne sait plus si l'on déguste ce qui s'inscrit dans le "PIQUE NIQUE VEGETAL" ou "LE PIQUE NIQUE MER ET MONTAGNE", peu importe tout est bon en cet instant de luxe, calme et... convivialité. Merci Monsieur Piège pour cette fraîche idée.

PIQUE NIQUE VEGETAL (36 euros) :
"Taboulé à la libanaise, Sushi chaud thon/riz herbes/savora,
Tomate mozzarella basilic en tartare, Focaccia à l'italienne,
Soupe de petits pois à la menthe, Dégustation du jour,
Fromage blanc, fraises des bois
Fin gâteau croustillant chocolat praliné"


PIQUE NIQUE MER ET MONTAGNE (38 euros) :
"Thon rouge à la niçoise, Vitello tomato comme des sushi,
Soupe de tomate, Bruschetta de pain de campagne/Jambon de Jabugo,
Coeur de sucrine/volaille épicée/sauce Caesar, dégustation du jour,
Fromage frais de chèvre ciboulette/huile d'olive,
Gaspacho de fruits rouges"

Tournée bus Taillefine

Jusqu’au 28 juillet, un bus Taillefine sillonne la France pour aller à la rencontre des consommatrices et aborder le sujet nutrition. A bord des bus, des questionnaires et des rencontres gratuites avec un diététicien sont proposés pour faire le point sur son alimentation. Opération conçue par l’agence Prunelle.

mardi 19 juin 2007

Change de basket avec Vittel

Dans le cadre d'une série d'action menées depuis le début de l'année autour de la forme et de l'activité physique, Vittel, en partenariat avec Adidas, propose de renouveler les baskets des Français. La marque invite ses consommateurs à cumuler des points sur les packs de bouteilles de 1,5 litres porteurs de l'offre.
En échange de huit de ces points, d'un chèque de 15 € et d'une photo de leur vieille paire de chaussures, les participants se verront offrir une paire de running Adidas équipées de lacets Vittel. L'opération durera jusqu'à la fin de l'année.
Photo Stefano Candito

lundi 18 juin 2007

Gusto #3 met la femme à l'honneur

Y-a-t-il une cuisine de genre ? Les masculin - féminin influencent - ils les pratiques culinaires ?
"Parce que chaque chef porte en lui une mère nourricière, inspiratrice et souvent à l'origine de sa vocation mais aussi parce que la gastronomie haut de gamme et les métiers qui y sont attachés voient de plus en plus de jeunes filles dans leurs rangs."
"Particulièrement à l¹honneur cette année avec la troisième étoile d¹Anne-Sophie Pic au guide Michelin, la cuisine féminine connaît une renaissance depuis une vingtaine d'années grâce à des cuisinières militantes et talentueuses qui ont su trouver une place bien méritée dans un univers jusque là masculin. Avec elles, ce sont tous les métiers de la gastronomie qui se féminisent du chef de rang à la sommelière." Jusqu'à ces dernières années, la « mère » cuisinait derrière ses fourneaux mais le « chef » était un homme.
Gusto ouvre ses pages à cette histoire et laisse la parole aux femmes, en particulier à l¹historienne Michelle Perrot, rédactrice en chef invitée, à l¹écrivain Noëlle Châtelet, mais aussi aux cuisinières, pâtissières françaises et étrangères.
« La table au féminin » évoque un imaginaire, une histoire et une culture, illustrés de manière originale par Claire Béguier et son travail photographique sur les corps.
La gastronomie est une affaire de bouche mais elle renvoie consciemment ou inconsciemment au maternel. Soulignons donc tout ce que notre patrimoine culinaire doit aux femmes.
Ce numéro met en avant quelques innovations qui ont révolutionné la cuisine : les fourneaux à gaz, le réfrigérateur mais aussi l'utilisation de techniques modernes pour la transmission des savoirs des écoles de cuisine ou la question des OGM.
La sacro-sainte question : la cuisine française doit-elle être inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco ? dont Gusto est le fervent porte-parole, sera enfin posée.
Le site gustopress.com liste tous les lieux où trouver gusto .

samedi 16 juin 2007

DESIgneR's Days

La 7ème édition du parcours parisien de design vient de commencer ce 14 juin. 5 jours durant, une quarantaine de lieux parisiens accueille des scénographies éphémères explorant le thème du désir.
"Raconter le désir au travers de l'objet, c'est tenter de disséquer ce qui le fait entrer en résonance avec l'histoire de l'intime. [...]Rendre l'objet désirable au delà de son utilité et de sa fonctionnalité, c'est lui insuffler de l'inattendu, de la rareté, de la novation, et, plus subjectivement une parcelle de beauté".


Montez les marches de Baccarat, pénétrez les salons et soyez les témoins de l'origine du monde comme origine du désir. Jean Oddes a imaginé une table "jardin d'Eden", où trônent les reproductions de l'Adam et Eve de Lucas Cranach. La scène du péché originel est revisitée dans une scénographie où musique et jeux de lumière subliment la magie du cristal.


Photo Stefano Candito

Autre cène, Marc Brétillot, designer culinaire, a conçu 4 saveurs comme 4 désirs d'ailleurs, invitation au voyage gustatif. Mon transport gourmand préféré : le Caire-Athène : radis noir en glace de lait d'amande et olives vertes confites.
Détails sur le parcours sur designersdays.com

Kellogg's va cesser les publicités de certains produits auprès des enfants

Afin d'éviter des poursuites judiciaires aux Etats-Unis, le groupe agroalimentaire américain Kellogg a annoncé qu'il modifierait ou arrêterait de promouvoir auprès des enfants de moins de 12 ans ses produits ne respectant pas les critères nutritionnels que s'est fixés le groupe dans son "Global Nutrient Criteria". Ce "Global Nutrient Criteria" fixe une limite de 200 calories par portion, 2 grammes de matière grasse, 0 gramme d'acide gras trans ("trans fat"), de 230 milligrammes de sodium (composant du sel) et de 12 grammes de sucre. En réponse à cette annonce, le Centre pour la science dans l'intérêt du public (CSPI) et la Campagne pour une jeunesse sans publicité (CCFC) ainsi que deux parents du Massachusetts (Nord-Est) ont aussitôt annoncé qu'ils abandonnaient leur plainte contre la marque.

jeudi 7 juin 2007

Fais dodo, Puget, mon petit frère, fais dodo...

A l'ère d'une France qui se lève tôt, la sieste serait-elle tendance ?
Pour célébrer son 150ème anniversaire, l'huile d'olive Puget fait de la sieste un événement (conçu par Pro Deo). Du 29 juin au 1er juillet, la marque s'installe à la Croix des Canaux (Paris - La Villette) et invite les visiteurs à faire la sieste, à titiller le cochonné autour de parties de pétanque et bien sûr, à découvrir les produits de la marque dans un décor méridional d'oliviers et de pieds de lavande.
xixixixixi, et les cigales, ont-ils prévu les cigales pour nous bercer dans notre sieste ?

Cuisine et Vin de France fête ses 60 ans

Créé en 1947 par Curnonsky "prince des gastronomes", le magazine Cuisine et Vins de France fête aujourd'hui, 7 juin, son soixantième anniversaire. Le numéro collector propose, entre autre, 60 recettes d'été autour de 60 produits cultes, 60 ans dans le vignoble français… Pour rappel, ce bimestriel édité par le Groupe Marie Claire bénéficie d'une Diffusion France Payée de 128 609 exemplaires (OJD – DSH 2006).

mercredi 6 juin 2007

Des produits beau et bio à la fois

A lire un article de Pascale Caussat dans Stratégies :
"Près de la bibliothèque François-Mitterrand, à Paris, le restaurant Bioart contraste avec la rumeur des voitures filant le long du très chargé quai de Seine. Deux sculptures de vache colorées accueillent le visiteur. À l'intérieur, des baies vitrées offrent une vue généreuse sur le fleuve, l'espace est insonorisé, les fumées sont aspirées, les lieux sont aménagés suivant les préceptes feng shui et un accès Internet gratuit est disponible par Wifi. Quant au menu, il fait une large place aux produits de saison identifiés par le logo AB (certification agriculture biologique). Bioart est à mille lieues de l'image austère des restaurants macrobiotiques ou végétariens de la capitale. Et pourrait bien préfigurer une nouvelle façon de mettre en scène les codes du bio. À savoir une représentation moins militante et plus séduisante, adaptée aux nouveaux consommateurs de produits biologiques.

D'après le dernier baromètre Agence bio/CSA, le marché de l'alimentation biologique, évalué à 1,6 milliard d'euros en 2005, a augmenté de 9,5 % par an en moyenne depuis 1999, alors que, dans le même temps, l'ensemble du marché alimentaire progressait de 3,6 % par an. Près de 28 % des acheteurs de produits biologiques disent en consommer depuis trois ans ou moins. Cette tendance est visible dans la floraison de supermarchés spécialisés au cœur du « boboland » parisien, le quartier d'Oberkampf, où se côtoient ¬Naturalia, Markethic et le tout nouveau Lemo, membre du réseau de distribution Biocoop.

Un écueil : outrer les fidèles
Si l'adhésion à une philosophie prime dans ces boutiques, celles-ci sont concernées, comme n'importe quel distributeur, par la visibilité des produits. La marque spécialisée Prosain, confrontée à une faible émergence en linéaires, a mandaté Black & Gold, l'agence des pâtes Panzani et du camembert Président, pour réinventer ses packagings. De son côté, Biocoop travaille avec son agence CPO (groupe Altavia) à la rénovation de sa gamme « Ensemble pour plus de sens », afin de mieux mettre en avant sa démarche et ses filières.
« C'est la première fois que Biocoop travaille sur l'aspect attractif des produits, reconnaît Mickael Sureau, directeur commerce et marketing du réseau. Nous voulons insister sur la lisibilité de la démarche, avec des codes couleurs, un graphisme qui montre le lien avec la production et des informations détaillées. » Pour le reste, précise-t-il, « il nous est arrivé de déréférencer des produits qui présentaient du suremballage, par exemple une salade avec un couvercle abritant une fourchette. Notre clientèle fidèle est attachée au vrac, qui représente 4 à 5 % du chiffre d'affaires de nos magasins. Et nous ne souhaitons pas distribuer une multinationale comme Danone. »
La percée du bio en grandes et moyennes surfaces est observée avec méfiance par le circuit spécialisé, qui pointe les risques de dérives, voire le dévoiement de ses valeurs. « Le bio trouve ses origines dans un acte militant contre la consommation. Dans ce domaine, la séduction peut être perçue comme une trahison », souligne Nicolas Chomette, directeur général de l'agence Black & Gold, qui a également remanié les packagings de la marque Le goût de la vie en grandes et moyennes surfaces.
La tendance suit pourtant les comportements des acheteurs bio, qui sont 75 % à se fournir dans ces formats de magasins. Elle contribue à l'évolution des représentations graphiques du bio vers des formes plus ludiques. Le yaourt Les 2 vaches du fermier du bio, de Danone, a poussé très loin cette logique, même si l'on peut regretter le conditionnement en quatre pots recouverts de carton, gourmand en emballage. Dans cette veine, on trouve aussi Michel & Augustin ou Ben & Jerry's. D'autres marques, en particulier de distributeurs (Monoprix, Carrefour), s'inspirent des codes militants, avec des références à l'origine et aux producteurs. « Moins la marque a de légitimité, plus elle doit témoigner de son appartenance au bio, analyse Stéphane Ricou, fondateur de l'agence R Design Experts, qui a réalisé une étude sur ce sujet. Plus elle est reconnue comme bio, plus elle s'affranchit des codes classiques pour développer une véritable expérience de marque, c'est-à-dire une mythologie plutôt qu'une justification. » D'après lui, le marché devrait évoluer, d'une tendance à la « communion », issue du militantisme, à celle de « consolation », incarnée par Body Shop ou L'Occitane. Pour Nicolas Chomette, le secteur cherche encore sa voie entre « un discours décalé-complice, militant ou artisanal ».
À la suite de l'alimentation, les cosmétiques osent des packagings plus originaux. Caroline Moulin, directrice du département beauté de l'agence Lonsdale, a observé les tendances du marché, relevant un compromis entre l'engagement et le plaisir chez des marques comme l'australienne Aesop, la brésilienne Natura ou encore Pangea Organics, Jardin Bio Etic, Akhassa, Origins, Boots Botanics... La marque californienne Nature Girl évoque le mouvement « eco-warrior », ces activistes capables de camper dans des arbres pour empêcher la construction d'une autoroute, avec ses pots tagués « I love organic » ou « I am green ».
La nouvelle génération de la beauté biologique se retrouve dans la ligne Care de Stella McCartney, distribuée par Sephora, qui proclame : « Pourquoi ne serait-il pas possible d'adopter un style de vie plus naturel, sans pour autant renoncer au luxe ? » Pour Caroline Moulin, cependant, le mariage du luxe et du bio a ses limites : « L'or ou l'argent à chaud sur les étiquettes, un des codes du luxe, n'est pas du tout compatible avec le respect de l'écosystème. Et les grands parfumeurs n'osent pas parler de bio par crainte de baisser en gamme. » Pour être belle et bio, il faut accepter une touche de sobriété."

lundi 4 juin 2007

Le Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne choisit Momentum

Après une compétition qui opposait Talents Only, Brune, Hakuhodo et Singulier, le BIVB a sélectionné l'agence Momentum pour la promotion de l’image de l’appellation en France.

Semaine "Fraîch’attitude", édition 3

Du 1er au 10 juin, c'est reparti pour une semaine de promotion et d'incitation à la consommation de fruits et légumes frais. C'est l'agence Magic Garden pour INTERFEL et APRIFEL qui orchestre la campagne articulée autour d’une "Parade gourmande". Le dispositif prévoit un bus "végétalisé" qui sillonnera les rues de la capitale et celles de la Province pour proposer animations et dégustations sur son passage.
Pour connaitre les événements proposés : www.semainefraichattitude.com

dimanche 3 juin 2007

Mood indigo

You ain't been blue
No, no, no
You ain't been blue
Till you've had that mood indigo
That feelin goes stealin down to my shoes
While I sit and sigh "Go 'long, blues"
Always get that mood indigo
Since my baby said goodbye
In the evenin when lights are low
I'm so lonesome I could cry
'Cause there's nobody who cares about me
I'm just a soul who's bluer than blue can be
When I get that mood indigo
I could lay me down and die
La seule version audible à mon coeur :
Ella Fitzgerald - Octobre 1957
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Le grand Fooding été 2007

Le grand Fooding été 2007, c'est reparti et ça commence demain, par Toulouse, avec au piano Michel Sarran, Sonia Ezgulian et Christine Ferber, qui lache ses confiotes pour donner du coulis dans la glace Häagen Dazs. Le dimanche 10 juin, c'est grand pique-nique à Vitry dans les jardins du Mac Val, avec, histoire oblige, Inaki Aizpitarte pour l'apéro, au BARBECUNOMIQUE, du beau monde et des étoiles avec Alain Passard (l’Arpège), Laurent Chareau (du Transversal, The resto du Mac Val), Gaston Stivelmaher (Unico), Frédéric Anton (Le Pré Catelan) et enfin Philippe Delacourcelle (Le Pré Verre). Après la banlieue parisienne, c'est au tour de Marseille d'accueillir les festivités le 17 juin et enfin Lyon le dimanche 24 juin, avec au programme les habituelles têtes d'affiche lyonnaise, Nicolas Le Bec, Martin Schmied (Magali et Martin), Olivier Delbergues (Le Verre et l’Assiette) . Voilà de bons dimanches en perspective, enfin, pour manger, c'est comme à la cantine, il faut aimer faire la queue...
A part ça, le guide du Fooding 2007 sera en kiosque à partir du 7 juin.